Tendresse d’à-Dieu

Mes mains ont enserré la sienne de chaleur et d’amour

Mon regard chaviré de tristesse posé sur son visage émacié

Elle a souri

Avec le peu de force qui lui reste, si faiblement

Ma joue de tendresse a caressé la sienne

De son bras amaigri elle m’a entouré l’épaule

Le silence se chargeait de l’essentiel

Ma maman s’en va…

Et mon cœur est si lourd

 

Marie-Christine Bernard

Février-mars 2019