Entre été et printemps
Il pleut.
Il fait froid.
Les jours sombres et fatigués tombent tôt sur les arbres déplumés et les rues mouillées.
C’est le moment de puiser de l’énergie là où on l’aura emmagasinée.
Pour ma part, c’est en pédalant cet été sur les bords des rivières.
Alors je replonge dans l’ambiance de verdure, de soleil et d’insouciance de juillet. Contempler ce paysage me réjouit toujours…
Il porte l’attente de jours meilleurs, et cette attente elle-même porte à l’espérance d’un autre ordre, dans les profondeurs de l’infini qui nous propulse en un présent plein d’avenir. Je me comprends…
Il fait froid.
Les jours sombres et fatigués tombent tôt sur les arbres déplumés et les rues mouillées.
C’est le moment de puiser de l’énergie là où on l’aura emmagasinée.
Pour ma part, c’est en pédalant cet été sur les bords des rivières.
Alors je replonge dans l’ambiance de verdure, de soleil et d’insouciance de juillet. Contempler ce paysage me réjouit toujours…
Il porte l’attente de jours meilleurs, et cette attente elle-même porte à l’espérance d’un autre ordre, dans les profondeurs de l’infini qui nous propulse en un présent plein d’avenir. Je me comprends…
Marie-Christine Bernard
Décembre 2014